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jeudi 29 mai 2014

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Le travail occupe une grande partie de nos vies, de sorte que le degré de satisfaction que nous rapporte la profession que nous faisons, est un élément basique pour notre épanouissement personnel et pour l’obtention du bonheur.


Le travail occupe une grande partie de nos vies

Depuis que nous sommes petits, nous associons le mot de « travail » à des idées que nous n’attirent en rien, comme l'ennui, l’obligation, la discipline, etc.

Nous le concevons seulement comme une chose nécessaire pour pouvoir gagner la vie. En fait, c'est la fonction principale de l'emploi, depuis le moment où l'homme a commencé à chasser ou à cultiver la terre, mais en fonction de la relation que nous entretenons avec notre travail, cela peut être une source de frustration ou de satisfaction sociale.

Pour pouvoir arriver à bien jouir de notre travail, il y a deux niveaux auxquels nous devons agir : 
  1. Le premier niveau se réfère à toutes les questions relatives à l'élection de la profession que nous allons développer et au travail auquel nous allons consacrer une partie importante de notre vie. Nous devrions essayer d'obtenir un travail qui nous excite et nous motive.
  2. Le deuxième serait l'attitude que nous prenons pour le travail que nous faisons, quel qu'il soit, et tous les comportements et les stratégies que nous pouvons suivre pour parvenir à une vie professionnelle satisfaisante. 
Le choix du travail

Habituellement, avant d'atteindre l'âge de penser avec des certaines garanties, sur ce que nous voulons faire avec notre futur professionnel, nous devons commencer à prendre des décisions au sujet de nos études ou notre préparation pour ce qui va devenir notre activité professionnelle.

Ces décisions sont souvent influencées par des facteurs indépendants de notre volonté et par une ignorance de la réalité du travail. Même à l'université on ne peut obtenir que peu d'informations sur les différents types de travail pour lesquels nous pouvons opter.

La première question que nous devrions nous poser est : Que voulons-nous vraiment faire ? et ensuite voir jusqu’à quel point cela est possible.

Répondre à la première question est pratiquement compliqué. Certains auteurs pensent que nous pourrions dire qu'une personne aime vraiment son travail quand il était prête à le faire sans un paiement, c'est comme si notre passe-temps était aussi notre travail.

Bien que cette réflexion nécessite quelques éclaircissements, car ce n'est pas le même avoir un hobby de la photographie qu’être un photographe professionnel ; ou aimer la musique et la poursuivre professionnellement. C'est parce que notre point de vue change quand quelque chose se passe d'être un passe-temps pour devenir un emploi et, par conséquent, un devoir. Oui, nous pouvons dire que ce serait le rêve de la plupart des gens.

En fait, peu de gens peuvent travailler dans un domaine qui vraiment ils veulent, tout le monde doit gagner sa vie et il est difficile de se faire payer pour faire ce que vous aimez.

Quand on veut choisir un emploi c’est l’argent qui compte parfois, le pouvoir ou le prestige social que la vocation professionnelle. Beaucoup de gens ambitieux fondent toute leur orientation professionnelle uniquement sur la réalisation de ces objectifs. Mais l’ambition bien entendu doit consister en que l’obtention de ces objectifs soit une conséquence de l'évolution de notre vocation et le fond de la participation et de la contribution de notre travail.

Si le travail que nous choisissons coïncide avec notre véritable vocation, nous aurons plus de probabilités d’en pouvoir jouir et, en mettant plus d'effort et d'enthousiasme, nous aurons aussi plus de chances de réussir et de réaliser un travail bien fait.

Quelle devrait être notre attitude envers le travail ?

Le travail a toujours été considéré comme un fardeau, une obligation de l'être humain qui doit remplir. Jusqu'au XXe siècle, on ne pensait pas en travail comme un élément de la dignité humaine. L'attitude que nous prenons envers le travail peut influencer à que celui-ci soit une charge et une malédiction ou un élément d'épanouissement personnel.

Les expériences négatives au travail non seulement sapent notre bien-être, mais aussi la propre productivité. Il est montré que des relations professionnelles fluides et affectives avec nos collègues améliorent le travail d'équipe et facilitent la réalisation des objectifs des entreprises.

Avoir une attitude optimiste et positive envers le travail nous aidera à être plus heureux. Nous devons savoir aussi que tant l’optimisme que le pessimisme sont contagieux et que notre attitude peut influencer à créer un environnement de travail d’un sens ou d’un autre.

Voyons ici quelques choses que nous pouvons faire pour bien améliorer notre vie professionnelle : 
  • Eviter le pessimisme et la négativité.
  • Essayer d'interagir plus avec nos collègues et de se faire des amis au travail.
  • Découvrir des formules pour s'impliquer davantage et améliorer notre travail.
  • Offrir notre coopération pour les personnes qui en ont besoin.
  • Nous offrir pour des travaux en équipe.
  • S'impliquer dans les objectifs de notre société.
  • Enfin, nous devons cesser de regarder à chaque fois l'horloge ; L'ennui est l'un des ennemis les plus graves au sein du travail.



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