Le travail occupe une grande
partie de nos vies, de sorte que le degré de satisfaction que nous rapporte la
profession que nous faisons, est un élément basique pour notre épanouissement
personnel et pour l’obtention du bonheur.
Le travail occupe une grande
partie de nos vies
Depuis que nous sommes petits,
nous associons le mot de « travail » à des idées que nous n’attirent
en rien, comme l'ennui, l’obligation, la discipline, etc.
Nous le concevons seulement comme
une chose nécessaire pour pouvoir gagner la vie. En fait, c'est la fonction
principale de l'emploi, depuis le moment où l'homme a commencé à chasser ou à
cultiver la terre, mais en fonction de la relation que nous entretenons avec
notre travail, cela peut être une source de frustration ou de satisfaction
sociale.
Pour pouvoir arriver à bien jouir
de notre travail, il y a deux niveaux auxquels nous devons agir :
- Le premier niveau se réfère à toutes les questions relatives à l'élection de la profession que nous allons développer et au travail auquel nous allons consacrer une partie importante de notre vie. Nous devrions essayer d'obtenir un travail qui nous excite et nous motive.
- Le deuxième serait l'attitude que nous prenons pour le travail que nous faisons, quel qu'il soit, et tous les comportements et les stratégies que nous pouvons suivre pour parvenir à une vie professionnelle satisfaisante.
Le choix du travail
Habituellement, avant d'atteindre
l'âge de penser avec des certaines garanties, sur ce que nous voulons faire
avec notre futur professionnel, nous devons commencer à prendre des décisions
au sujet de nos études ou notre préparation pour ce qui va devenir notre
activité professionnelle.
Ces décisions sont souvent
influencées par des facteurs indépendants de notre volonté et par une ignorance
de la réalité du travail. Même à l'université on ne peut obtenir que peu
d'informations sur les différents types de travail pour lesquels nous pouvons
opter.
La première question que nous
devrions nous poser est : Que voulons-nous vraiment faire ? et ensuite voir jusqu’à quel point cela est possible.
Répondre à la première question
est pratiquement compliqué. Certains auteurs pensent que nous pourrions dire
qu'une personne aime vraiment son travail quand il était prête à le faire sans
un paiement, c'est comme si notre passe-temps était aussi notre travail.
Bien que cette réflexion
nécessite quelques éclaircissements, car ce n'est pas le même avoir un hobby de
la photographie qu’être un photographe professionnel ; ou aimer la musique et
la poursuivre professionnellement. C'est parce que notre point de vue change
quand quelque chose se passe d'être un passe-temps pour devenir un emploi et,
par conséquent, un devoir. Oui, nous pouvons dire que ce serait le rêve de la
plupart des gens.
En fait, peu de gens peuvent
travailler dans un domaine qui vraiment ils veulent, tout le monde doit gagner
sa vie et il est difficile de se faire payer pour faire ce que vous aimez.
Quand on veut choisir un emploi c’est
l’argent qui compte parfois, le pouvoir ou le prestige social que la vocation
professionnelle. Beaucoup de gens ambitieux fondent toute leur orientation
professionnelle uniquement sur la réalisation de ces objectifs. Mais l’ambition
bien entendu doit consister en que l’obtention de ces objectifs soit une
conséquence de l'évolution de notre vocation et le fond de la participation et
de la contribution de notre travail.
Si le travail que nous
choisissons coïncide avec notre véritable vocation, nous aurons plus de probabilités
d’en pouvoir jouir et, en mettant plus d'effort et d'enthousiasme, nous aurons aussi
plus de chances de réussir et de réaliser un travail bien fait.
Quelle devrait être notre
attitude envers le travail ?
Le travail a toujours été
considéré comme un fardeau, une obligation de l'être humain qui doit remplir. Jusqu'au
XXe siècle, on ne pensait pas en travail comme un élément de la dignité
humaine. L'attitude que nous prenons envers le travail peut influencer à que
celui-ci soit une charge et une malédiction ou un élément d'épanouissement
personnel.
Les expériences négatives au
travail non seulement sapent notre bien-être, mais aussi la propre productivité.
Il est montré que des relations professionnelles fluides et affectives avec nos
collègues améliorent le travail d'équipe et facilitent la réalisation des
objectifs des entreprises.
Avoir une attitude optimiste et
positive envers le travail nous aidera à être plus heureux. Nous devons savoir aussi
que tant l’optimisme que le pessimisme sont contagieux et que notre attitude
peut influencer à créer un environnement de travail d’un sens ou d’un autre.
Voyons ici quelques choses que
nous pouvons faire pour bien améliorer notre vie professionnelle :
- Eviter le pessimisme et la négativité.
- Essayer d'interagir plus avec nos collègues et de se faire des amis au travail.
- Découvrir des formules pour s'impliquer davantage et améliorer notre travail.
- Offrir notre coopération pour les personnes qui en ont besoin.
- Nous offrir pour des travaux en équipe.
- S'impliquer dans les objectifs de notre société.
- Enfin, nous devons cesser de regarder à chaque fois l'horloge ; L'ennui est l'un des ennemis les plus graves au sein du travail.
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